- Date de la sortie
- Temps d'activité
- 4 h passées dans l'eau
Basender
- Participants
- Prénom
- Maud
- Prénom
- Aloé
- Prénom
- Mathieu
Nous nous garons au parking avant d'entamer la descente jusqu'au début du canyon, il fait déjà chaud.
Alice installe le premier rappel en simple et débrayable. L'occasion de mettre en pratique notre théorie et de voir comment sécuriser le système en cas d’erreur grâce à une dégaine. Étant donné que le canyon est sec, nous installerons des nœuds de bout de corde.
Le canyon est très vert dans un premier temps, on ressent la protection de la roche contre la chaleur, maintenant une légère fraîcheur humide. Passé les deux-trois premiers rappels, la végétation change, c'est un peu plus sec (et piquant, de par les buis et les genêts scorpions/ajonc de Provence (Plantnet n’a pas été concluant)). Des rapprochements se font avec un joli figuier qui nous barre le chemin, entre balancier et câlins. On effectue une session photo dans une jolie section très jolie où le soleil perce presque.
Maud installe l'avant-dernier rappel, sous les conseils/validation d'Alice. Alice installe le dernier et nous rejoignons le Rio Vero.
Ça aura été un canyon assez simple, agréable et bien pour s'entraîner sans pression aux équipements et s'adapter aux rappels.
Nous mangeons les pieds dans l'eau, en croisant de nombreuses familles qui font la randonnée aquatique du Rio Vero. Le retour nous fait passer sur des murets de barrages entraînant un retour à l'état de chat pour Maud. La remontée à l'échelle du barrage est compliquée par les sacs se bloquant dans les arceaux de protection. Des espagnols nous indiquent un chemin quelques mètres en amont que l'on prend, sauf Mathieu qui entreprend l'escalade, toujours sans pouce, en mode “je meurs, mais j’y arrive”.
Nous partons ensuite sur Portiacha.
- Publié par
- Maud