- Date de la sortie
- Temps d'activité
- 5 h passées dans l'eau
Macini
- Participants
- Prénom
- Mathieu
- Prénom
- Aloé
- Prénom
- Simon
- Prénom
- Sébastien
- 🦎 des participants externes
(CR rédigé plusieurs mois après à partir de vagues notes)
Grise journée, on s'équipe et on commence. Sur un des relais, Simon me fait équiper, ça prend du temps mais tout le monde descend en sécurité !
À un moment, alors que je suis vers la fin du groupe, on arrive en haut d’un plan incliné. Je ne remarque pas que tout le monde fait un grand tour pour éviter une zone et je marche sur le granit en tête du plan. À cet endroit, celui-ci est extrêmement glissant et mon pied part puis moi toute entière. Je vois ma vie défiler en imaginant tout ce qui peut (ou surtout peut ne pas) se trouver en bas car il m’est absolument impossible de m'arrêter dans le toboggan.
Mathieu, me voyant passer, essaie de m’arrêter et tombe lui aussi. Heureusement, la vasque de réception est assez profonde et sans rocher pour que tout se passe bien, mais je me (nous) suis fait très peur.
Un peu plus loin, il y a un obstacle sur lequel il faut peut-être fractionner la descente. Le départ est accessible par une main courante assez pentue. Simon équipe le relais du haut, puis Maël passe en premier pour aller voir et potentiellement poser le relais intermédiaire. Il fait un état des lieux et demande à Simon de lui faire passer un kit de corde.
Nous voyons Simon prendre son kit, se pencher en tension sur sa longe pour regarder, commencer à faire balancer le kit. Mathieu demande “mais tu l’attaches à la corde hein ?” et Simon lui répond “bien sûr !”.
Il saisit la corde, clippe et donne un grand coup d’élan au sac qu’on voit s’envoler vers le ciel, absolument pas attaché. Simon a-t-il clippé à côté de la corde, pas clippé du tout, le mousqueton est-il sorti de la corde ? Nous ne le saurons jamais !
Toujours est-il que le kit tape la paroi opposée, revient sur la nôtre, passe devant un Maël interloqué et atterri dans la vasque. Heureusement, nous avons un autre kit de corde, on vérifie trois fois qu’il est bien attaché avant de la faire descendre.
Pendant l’installation du relais, on surveille le kit qui tourne dans la vasque jusqu’à ce que quelqu’un demande “ben, il est où maintenant ?”. Maël termine l’installation et on commence la descente. Je vois un nid rempli d’oisillons, encore tous jeunes, juste au-dessus de la tête de Maël. Arrivés en bas, on repère le kit échoué dans un coin de la vasque que nous ne voyions pas d’en haut.
On repart et fort heureusement, il n’y a rien de plus marquant qui arrivera ce jour-là !
- Publié par
- Aloé