Mine de Vallossières

Rdv pour moi avec Hélène à la Place Jean Macé avant le lever du soleil, on part vers l’ouest sans bouchons et on retrouve avec les autres participants devant une boulangerie dans le Beaujolais. On attend Guillaume et quand tout le monde est regroupé, on rentre le boulangerie pour choisir nos casse-croutes. Comme ça fait “même pas 50€”, on rajoute quelques croissants et chocolatines pour le goûter.

On monte dans les collines. À côté des mines, c’est assez frais. On s’équipe et on divise en deux groupe: Hélène, Guigui, et moi dans un, Aurélie, Thibaut, Gilbert et Thomas dans l’autre. On rentre tous dans le petit “couloir”. Il n’y a pas de chauves-souris dedans. On arrive au ravin, mon groupe part vers le gauche et les autres vers le droite. Guigui perce les trous pour les nouveaux broches sur la première main-courante et le premier puit. Hélène me montre comme souffler les trous avec une tube donc je m’en occupe avec ça et pour passer les matos. Vers la tête du puit il y a une petite rhino. On fait attention mais il faut travailler à côté mais il reste. Même quand on commence à percer à 10 cm, elle vibre mais elle reste. Juste avant finir le trou, elle décide finalement de s’en volé. On continue en haut et on fait la même chose pour la prochaine main-courante + puit, acrobatiquement. Une fois tous les trous sont faits, on pompe une pâte rose visqueuse que semble beaucoup à la praline rose pour fixer les broches dedans et on mets les broches. Je mets beaucoup trop de pâte dans mon trou et ç’a débordé partout quand j’ai poussé le broche dedans.

Fatigué, on fait une pause pour manger. L’autre groupe continue leur boulot. Après le déjeuner, on retour à notre côté et on descend le puit. Pendant que Hélène fait une avalanche de cailloux, je fais quelques allés retours avec de matos et message de l’autre groupe. Ils finit tous leurs matos avant nous et sont donc obligé à arrêter. Aurélie rejoint notre groupe. Je reprends mon souffle un peu dehors et après je rejoins le nouveau-fait groupe de filles qui perce de trous pour pendues sur la tête de puit. Hélène m’encourage à percer le dernier trou. Elle doit m’aider à tenir le perfo droit mais on arrive. Un trou doit être repercer parce qu’on voit qu’il n’était pas soufflé avant de mettre la pâte praline rose mais on corrige vite avec un nouveau trou encore plus beau. On met la pâte et les broches.

On fini le travail vers l’heure du coucher du soleil. On se change et on retrouve à la boulangérie. Hélène donne les cordes qu’il faut mettre et tout le monde disperse. 🦇