- Date de la sortie
- Temps d'activité
- 5h30 passées sous terre
Fontaine de Champclos (Orifice 74)
- Participants

- Prénom
- Saphire

- Prénom
- Hélène
- Prénom
- Chloé

- Prénom
- Adèle

- Prénom
- Aloé

- Prénom
- Jonathan
- Prénom
- Soline
Approche
À la recherche du trou on choisit initialement de remonter (trop haut) ce que nous croyant être l’affluent rive gauche du Bourdaric. C’est l’occasion de voir une belle cascade mais on se rend finalement compte, après s’être équipés d’Openstreetmap, que le chemin qu’avait indiqué Aloé traversant le ruisseau en aval et grimpant est celui qui mène à la grotte.
Après une marche d’approche, durant plus que les quinze minutes indiquées, nous finissons par arriver d’abord à la résurgence. Il n’y a pas trop d’eau et quelques personnes du groupe hésitent encore à y passer pour la sortie…
Vers le mont-blanc
Nous rejoignons enfin le trou 074 où le matériel d’une DE est en place. Aloé équipe la tête du puis artificiel (P6) déjà équipé d’un noeud en Y puis on descend dans une première salle. En attendant que le reste de l’équipe descende Aloé me propose de poser pour une photo et j’en réalise une assez sympa !
Nous avançons jusqu’à une première main courante équipée qui descend jusqu’à un balcon offrant une vue surplombante du lac à droite. À gauche nous trouvons à gauche un niphargus.
Nous remontons une coulée de calcite sur une deuxième main courante équipée qui nous mène dans une tres grande salle 50m de diamètre pour 40m de hauteur et au milieu de laquelle trône le majestueux mont-blanc ! Sans matériel adapté je n’arriverait pas à réaliser une jolie photo…
Nous y croisons le groupe encadré par la DE qui nous apprend que le passage vers la résurgence nécessite, outre un ramping dans l’eau, une apnée sur 20 centimètres ! (En écrivant le CR je lis sur d’autres CR que le passage comporterait une zone qui nécessite de dégager le sable qui s’accumule…). Nous renonçons à nous y engager pour la sortie et nous continuons en direction de la salle des blocs. Nous nous engageons dans une galerie plutôt haute de plafond (la galerie des puits ?). Passé le puit que nous descendrons plus tard nous empruntons une main courante comportant une partie très glissante dans l’escalade qui nous mène jusqu’au spot parfait pour y casser la croûte (la salle de la vire).
Salle des blocs
Nous rejoignons ensuite la salle des blocs
Nous trouvons sur notre droite l’escalade qui permet d’aller descendre le « chien qui pisse » (ouverture située à 16 mètre du sol dans la salle du mont blanc) mais l’escalade paraissant périlleuse et les mousquetons rares (pour rappel la guerre des mousquetons faisait rage durant le stage) nous ne continuons pas plus loin mais nous y retournerons !
Nous trouvons aussi le méandre qui continue en escalade vers une salle que la guide nous avait indiqué mais nous jugeons l’escalade trop exposée et préférons faire demi tour pour descendre le puis (P7) vers le niveau du dessous.
Niveau du dessous : vers l’actif
Aloé équipe le puit (P7), il mène dans un réseau de l’actif.
Hélène et Saphire s’engage en amont vers une petite escalade puis une corde d’environ 2-3 mètres déjà installée qui débouche à l’ouest du puit descendu (P7) avant la salle de la vire où nous avions déjeuné.
De l’autre côté, en aval, on débouche, après une escalade en opposition équipée d’une corde à noeuds, à peine quelques mètres à l’est du puit.
Aloé part deséquiper le puit pendant que le reste de l’équipe finit de remonter.
Nous retournons dans la salle du mont blanc pour que celles et ceux qui le souhaitent puissent explorer la salle Elie Bernard.
Salle Elie Bernard
Elle mène au début du boyau qui aboutit sur la résurgence ainsi qu’à un cul de sac au bout duquel on trouve un très joli plafond tout plat.
Hélène pose pour une photo avant que Jonathan et Soline nous rejoigne. Quelques fleurs et aiguilles de gypses plus tard il est temps de remonter les trémies et rejoindre les autres qui nous attendent pour regagner la sortie !
- Publié par
- Saphire